À partir d'une question très simple (comment se fait-il qu'il soit plus facile de regarder un film de kung-fu que de landanse contemporaine ?), Lin Yuan Shang a créé une partition chorégraphique originale en ce qu'elle puise dans l'art martial pour nourrir une démarche chorégraphique singulière. Avec sa Cie Eolipile, il prolonge sa réflexion avec un travail vidéo qui renforce et complète la démarche dansée, nourrie d'une intériorité appuyée sur une forme décidément surpenante, audacieuse et attachante tout à la fois.
Cette proposition s'ouvrira par la projection de deux courts métrages du Japonais Takeshi Kushida en colaboration avec les Rencontres Audiovisuelles pour prolonger la thématique.