« Ici, on découvre que l’art est un jeu et que le jeu est une règle ». Quatre artistes ont ici placé le jeu au centre de leurs créations. Qu’il s’agisse d’un travail autour de la lettre (le projet Pangramme de Fanette Mellier), ou d’une pratique photographique (l’artiste Uta Eisenreich). Nous retrouverons également des « classiques » du jeu de construction, comme les célèbres origamis, maniés par Etienne Cliquet, enseignant à l’école supérieure des arts de Toulouse. Il présente une installation composée d’un origami en aliminium, incarnation possible des enjeux du numérique. Enfin, Ernesto Sartori s’emparera d’un autre « icône-objet » : le rubi-cube. Placé au centre de l’exposition, difficile de manquer ce que l’intéressé compare à une sorte de « morpion monumental ».