qui, pour ce travail, s’est appuyée sur les sources antiques de la tragédie mais aussi sur les nouvelles interprétations de Christa Wolf et Heiner Müller qui contrastent avec l’image de Médée, la magicienne infanticide. C’est sur Medeamaterial l’opéra de Pascal Dusapin composé en 1991 que Shasha Waltz a basé sa à sa recherche chorégraphique.
Cette création offre un beau prétexte à voir ou revoir l’un des premiers grands succès de Sasha Waltz, Travelogue I – Twenty to eight, où elle affirme déjà son langage poétique, émouvant et sensuel ainsi que My dearest…My fairest… un spectacle musical original qui dessine un top 50 des chansons d’amour où Purcell voisine avec des airs d’opéra italien ou des chansons hollywoodiennes.