Quelle est la spécificité du festival Triphonik pour les fans de musiques électronique à Toulouse ?

Miss Tick : L’idée du Triphonik, c’était de regrouper des collectifs français rattachés à l’esthétique progressive trance, tout en présentant d’autres styles musicaux. C’est une sorte de réunion des communautés trance, notre événement phare dans l’année. Comme à notre habitude, on donne beaucoup d’importance à la déco, et à tout « ce qu’il y a autour ». Par exemple, on n’a pas voulu accueillir des stands dans une simple optique de vente. A côté des expositions classiques, il y a de vrais shows de street art avec des performances réalisées en live.

Cette année, vous avez choisi de reconduire la thématique japonaise. Pour quelle raison ?

Miss Tick : Pour faire encore mieux que l’année passée ! L’an dernier, les visuels étaient axés sur le personnage du samouraï. Cette fois-ci, le public va investir un temple dédié au panda. C’est la force du Triphonik. Nous sommes sur une jauge plus petite (l’Inox et la petite salle), mais on sera encore plus ambitieux au niveau de la déco et du mapping.