4fefbb76f247b9a38035229461d4078b1336783f
Eb5642ba4fd0f3a4550da356ad7f005c5bda0237
Fermer
concerts

Fabian Ordonez

Réserver
Fabian Ordonez (2021)
Fabian Ordonez bercé depuis toujours par la musique, quitte son Argentine natale à 19 ans. Fabian décide de se rendre à Toulouse pour se consacrer à la chanson. Il chante et joue partout : sur les quais de la Garonne, au Borriquito Loco, à la Concorde… L’artiste veut chanter la salsa, la cumbia, toutes ces musiques chaudes et enfiévrées.

 

« Sa voix vibrait dans mon oreille quand j’étais dans ses bras / Les chansons à la guitare, les bisous avec la barbe… » (extrait de Papa, de Big Flo & Oli sur leur album La Vraie Vie – 2017)

Fabian Ordoñez a 19 ans lorsqu’il quitte le village argentin de Realicó, sa guitare sous le bras. Ses pérégrinations l’entrainent à la fin des années 70 à Vienne, à Budapest. Il y apprend à chanter devant dix ou cent personnes. Devient un « boléador », rejoignant quelque temps le cirque Boltini en Hollande. Heureux. C’est finalement à Toulouse que se pose Fabian. Il joue partout, connaît tous les Cubains, les Chiliens, les Espagnols et les Argentins de la ville. Les « bolas », c’est terminé : Fabian veut chanter la salsa, la cumbia… Il créé en 1993 le Barrio Latino, où se pressent tous ceux qui veulent écouter cette musique-là. Entre deux danses endiablées, les visiteurs s’amusent de deux bambins qui adorent monter sur scène, l’un avec sa trompette, l’autre avec ses percussions…

Avec un répertoire qui convoque les sons et rythmes latino-américains mais aussi nord-africains, français, Fabian et son groupe Salsa Caliente partagent chaque soir cette passion. Plus tard avec Fabian y su salsa, il enregistre Sin Fronteras (2014).

2017. Ses garçons lui offrent le plus beau cadeau d’anniversaire qu’un père puisse espérer : ils l’emmènent au studio et lui font écouter leur nouvelle chanson : Papa. Les larmes aux yeux et la gorge nouée par l’émotion, il écoute les mots de ses gamins devenus stars du hip-hop !

Janvier 2019. Poussé par ses deux fils, Fabian Ordoñez enregistre quelques chansons : Quizás, Quizás, Quizás, mythique boléro cubain de 1947, La Javanaise de Serge Gainsbourg. Et puis Hermano, composition originale dédiée à son frère. Le temps a passé, mais la voix, le talent, la passion sont intacts. Avec El Padre, il revient jouer dans la cour des grands et vous donne rendez-vous à Fives le 3 juillet au Square des Mères !

Publié le 15/10/2021