théâtre
QALIS
Un plongeoir métallique, comme un pont brisé vers nulle part, d’où tout se forme. En haut se construit l’univers sonore. En bas, on s’immerge dans les profondeurs du mouvement, on glisse vers un ailleurs. Ce solo clôture le triptyque autour du geste sonore débuté en 2016.
Au plus près de la matière, du corps, du mouvement sensible, comme un zoom dans un espace vertical restreint duquel le public se tient proche.
Autour de l’idée de circularité et de transformation, danse et musique s’incorporent dans cet univers plastique plein de possibles.
Le personnage et ses petits rituels, traversent cet espace, pris dans une sorte de roue de la fortune qui tourne. Inexorablement.
Publié le 11/05/2021