Youngho Park, récital de piano

Ce jeune coréen, titulaire d'une brassée de prix internationaux, propose un programme pour nous arracher à la morosité ambiante : 2 Rhapsodies de Brahms pour danser avec les tziganes, l’endiablé Pétrouchka de Stravinsky, 3 Préludes rêveurs de Debussy, et la Sonate si mineur de Liszt, la plus haute réalisation pianistique du maître.

 

Pro Musica vous invite à découvrir une étoile montante du piano, Youngho Park, 28 ans. D’abord formé en Corée du Sud, son pays, puis à la Hannover Hochschule für Musik où il a obtenu plusieurs diplômes, dont la maîtrise avec la plus haute distinction, il s’est fait connaître en Europe en remportant, dès 2018, de nombreux prix dans des concours internationaux, étapes obligées pour qui veut faire une carrière de concertiste. Le répit laissé par le covid lui ayant permis de reprendre ses activités, Youngho Park s’est distingué, durant le printemps et l’été 2021, au prestigieux Concours Reine Elizabeth de Belgique (demi finaliste), a remporté le 1^er prix du Concours d’Ile de France- dont Pro Musica est partenaire-, le 1er prix du concours Oeiras à Lisbonne et le 3è Prix du Concours Ricardo Vines en Espagne. Nouveaux lauriers accompagnés d’engagements de concerts: Piano en Saintonge à l’invitation de la grande pianiste Anne Queffélec, en Allemagne, Espagne, Portugal, Lituanie…

Avant l’épidémie, il avait donné de nombreux récitals en soliste ou avec orchestre en Corée et dans plusieurs pays d’Europe.

Le programme constitue une évasion - loin de la morosité ambiante  -, un songe plein de couleurs : deux Rhapsodies de Brahms pour danser avec les tziganes,  l’endiablé  Pétrouchka  de Stravinsky,  trois Préludes rêveurs de Debussy, et pour finir la Sonate si mineur de Liszt, œuvre monumentale- un des sommets du répertoire-  qui met toutes les ressources de la virtuosité et les déchaînements du romantisme au service d'une rigoureuse construction intellectuelle,