0eff62d711c010d84e9cddd056ede2e46713b749
2cd0ed8bb8da5692a2d7934de203bd962ca8cb32
81e267628df5d8ef33b2e59f0623e5a528b0db4b
4f8dd14f6e9e3d1783283140292e9f069a7262c9
Fermer
concerts

Caféine

841038b4ec752c7eea4a485c133097b54f76cd46

Une chanteuse dotée d’une voix incroyable, un tempérament de feu, une véritable show-girl, comédienne et danseuse à ses heures, sans parler d’un physique couleur café à damner le plus vertueux des saints ! Cette femme existe : elle s’appelle Sandra Nkaké. Mieux, elle vient à Marseille, où son souffle devrait réjouir la nombreuse assemblée attendue ce 20 novembre.

Pour tous ceux qui feront le déplacement à l’Affranchi sans la connaître ni d’Eve, ni d’Adam, un conseil : on prend une grande respiration, histoire de prévenir le souffle coupé et d’apprécier en toute sagesse les attraits de la bombe. A 34 ans, Sandra Nkaké ne vient pas d’Atlanta ou de Philadelphie, mais du Cameroun. Elle peut toutefois faire valoir des influences musicales bien au-delà de l’afro-beat : folk, soul, jazz, hip-Hop, world, sans parler de ses artistes favoris, de Jeff Buckley à Miles Davis en passant par Nina Simone, Joni Mitchell, Aretha Franklin, Bjôrk, Buni Raitt ou La Niña de los peines.

Groovy et nu’soul

À Marseille, elle vient présenter un premier album, Mansaadi, dont les 14 chansons parlent d’amour, de partage, de dialogue, de sincérité, de ce qu’elle est profondément ; une femme-enfant, une femme-garçonne ; une mère de famille ; une femme libre, instinctive et sensible qui assume qu’on la prenne pour une panthère alors qu’elle se sent plutôt souris. Car malgré son allure de diva, Sandra Nkaké est une grande timide qui se soigne, à grands coups de vocalises. Du grave à l’aigu, sa gorge chaude balaie d’ailleurs toutes les nuances groovy et nu’soul de la création. Alleluia ! 

Publié le 03/11/2009 Auteur : O.N.

Sandra Nkaké, le 20 novembre à 20h30, l’Affranchi 212 bd de Saint-Marcel à Marseille. Tarifs : 13/11€. Tél.04.91.35.09.19 www.l-affranchi.com


Mots clés : concerts