« Effronté, désinvolte, taquin mais surtout imprévisible ». C’est assez bien résumé. Toutefois, si l’événement n’était qu’un condensé d’œuvres trash, son intérêt ne serait que relatif. Ce festival à la gloire du cinéma « déviant » montre au contraire que les voies toutes tracées du marketing éludent une bonne partie des possibilités artistiques que recèle le genre. Ne manquez pas la compétition de courts-métrages, particulièrement appréciée des cinéphiles toulousains lors des deux précédentes éditions. Pour l’occasion, le festival invite à nouveau Benjamin Leroy, Programmateur au Paris International Fantastic Film Festival (Paris) et à Hallucinations Collectives (Lyon). Ça promet…