Les belles histoires de l'Oncle Ramon

L'art ne se raconte pas seulement en déroulant une liste de dates clés et d'artistes majeurs, il se vit aussi comme une histoire intime.
C'est pour cela que le musée des Abattoirs a choisi de faire appel à Ramon Tio Bellido pour un cycle de conférences qui s'achèvera ce 14 octobre ; une série de récits à la première personne, où histoire de l'art et histoire personnelle sont étroitement imbriquées.
Si les deux premiers rendez-vous traitaient respectivement des années 1960 à 1970 (les débuts de l'art moderne et contemporain / l'adolescence et les études toulousaines), puis des années 1980 à 1990 (la modification de la perception de l'art, désormais investissement marchand, et de la starification de certains artistes / le début d'une carrière internationale), la dernière conférence se penchera sur les années 2000 à 2010.

Ces dix dernières années, les manifestations dédiées à l'art contemporain se sont multipliées à travers le monde, jusque dans des contrées jusqu'alors peu emblématiques de ce courant, et qui suscitent désormais un engouement international.
Parallèlement, Ramon Bellido s'est impliqué dans plusieurs organismes, dont l'AICA (Association Internationale des Critiques d'Art, une ONG fondée à l'Unesco en 1948), qu'il présidera puis administrera en tant que Secrétaire Général, et a écrit de nombreux ouvrages.

Retour sur dix ans d'art contemporain, racontés par l'Oncle Ramon.