0eff62d711c010d84e9cddd056ede2e46713b749
2cd0ed8bb8da5692a2d7934de203bd962ca8cb32
B9b75ddec9a61b1fe3f4911979cdb1c0e797d076
29555f24d64d953f3b80131ec6dfbe5a531b9ab5
81e267628df5d8ef33b2e59f0623e5a528b0db4b
4f8dd14f6e9e3d1783283140292e9f069a7262c9
Fermer
expos

Pendant ce temps, au village...

A4efda000708e81b96e05753c7322b8e7d847e72

Émile Vignes, Frédéric Desmesure. Du noir et blanc à la couleur, deux générations de photographes, deux regards sur la ruralité landaise, ses habitants, ses traditions. La vie.

Bienvenue à Castets-des-Landes. Ici, pas de rocade ni de rues piétonnes, mais des bals, des kermesses, le travail dans les champs ou sur le marché, des mariages, des baptêmes, le calme et la tranquillité du dimanche. Un autre rythme, « une certaine idée de la vie ». Et noyé dans la masse, un habitant, Émile Vignes dans sa relation intime à la terre, observateur et « photographe de la vie de tous les jours ». Des évènements, des instants de vie (1920-1970), au final un ensemble de valeurs indissociables de ses paysages, de Mimizan à Hossegor, « où la forêt de pins rencontre l'océan »... et bien plus tard les touristes, populaires et mondains.

BOUHEYROTS

Non loin de là, dans la forêt des Landes, Labouheyre, 2500 âmes et par intermittence (2003-2009), un photographe-citadin venu « capter la vie du village », avec une ambition universelle... et une touche de Sud-Ouest : le rugby, l'école républicaine, la chasse, la tuaille du cochon, les fêtes de village. Comme à Castets, en ressort « une autre manière de vivre socialement », « un autre rapport à la vie », des valeurs : solidarité, « intérêt des uns pour les autres », des choses « qui m'ont rassuré » souffle Frédéric Desmesure.
Et comme « la photographie, c'est la relation aux autres », clichés réussis.

Publié le 09/12/2009 Auteur : WDN

Un regard sur les Landes (1920-1970), Une vie de village (2003-2009), du 15 décembre au 15 mars au musée d'Aquitaine. Tel 05.56.01.51.00.


Mots clés : expos