À entendre le chorégraphe, il s’agirait d’abord d’une « histoire de malentendus, de chansons volées et de danses hésitantes ». Profondément humaine, la pièce n’élude pas les paradoxes, ouvrant même le champ des possibles à l’erreur, qui serait là « bienvenue ». Ici, la faute est mise au service de la poésie, comme s’il fallait moins communiquer pour trouver l’harmonie. Un dialogue dansé sans queue ni tête, bien servi par les danseurs hip hop Camille Regneault et Julien Saint-Maximin, déjà vus dans Asphalte et Standards. Un play-back malicieux à découvrir !