En 13 films, vous pourrez largement vous repayer un tranche de Kubrick jusqu’au 25 juin. S’il est important de continuer à regarder les films du mythique réalisateur, c’est que la plupart des scènes sont à observer sous plusieurs angles. Souvent réduit à ses scènes les plus choquantes, Orange Mécanique n’est pas seulement une traduction ultra-violente du roman d’Anthony Burgess. Tout comme Shining ne saurait être vu comme le one-man-show électrique du flippant Nicholson. Essayons plutôt d’y voir la façon de filmer de Kubrick. La façon dont les mouvements de caméra se succèdent. Au-delà de l’émotion générée par le choc visuel, et si le génie du cinéaste résidait dans sa capacité à maitriser notre inconscient?