0eff62d711c010d84e9cddd056ede2e46713b749
2cd0ed8bb8da5692a2d7934de203bd962ca8cb32
B9b75ddec9a61b1fe3f4911979cdb1c0e797d076
29555f24d64d953f3b80131ec6dfbe5a531b9ab5
81e267628df5d8ef33b2e59f0623e5a528b0db4b
4f8dd14f6e9e3d1783283140292e9f069a7262c9
Fermer
danse

aSH

aSH (2024)
Figure de proue du Kuchipudi (danse indienne alliant musique et jeu d’acteur pour représenter un mythe ou une légende hindoue), Shantala Shivalingappa a dansé avec les plus grands, parmi lesquels Maurice Béjart, Pina Bausch ou encore Sidi Larbi Cherkaoui… Autant de rencontres qui font de son expérience artistique un parcours d’exception.


Entre danse traditionnelle et contemporaine, aSH révèle une interprète à l’apogée de son art. Dans un dispositif de cendres et de vibrations, elle incarne le dieu Shiva qui permet au monde de se manifester et à l’espace de danser.

L’oeuvre d’Aurélien Bory se caractérise par l’importance de la scénographie, qui interroge la question de l’espace et influence son esthétique. Il tisse des collaborations artistiques avec des créateurs de tous horizons. aSH clôt la trilogie des portraits de femmes créée par Aurélien Bory, dont le deuxième volet, Plexus avec Kaori Ito, avait été accueilli en 2017 au Moulin du Roc.

Publié le 06/03/2024


Mots clés :