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GARI GREU

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GARI GREU (2019)
Une forêt, une jungle, une mer ? Un cerf, un homme, un corps, 1000 corps échoués… A l’heure où tendre la main peut être un délit, il faut faire face au défi. Nouvel album : Barka. Un concentré de la cité phocéenne et de sa vie de quartier, mais aussi d’Afrique avec - en trame de fond - un voyage initiatique à Ouagadougou.

Dans « BARKA », il y a Marseille. Le Marseille de l’ailleurs, le Marseille de l’autre, ce Marseille où valsent les valises, où l’on se retrouve à un comptoir de Noailles pour trinquer à la mémoire de Fausto, où on laisse nos pieds décider pour nous. Ce Marseille où on fait ce qui nous plait, se rassembler, partager, être solidaires, être vivants !
Dans « BARKA », il y a l’Afrique. Tartar(e) (Papa !) a invité Gari à Ouagadougou en 2014, il avait l’impression d’être à la maison, Place de la femme, au pays des hommes intègres.
Dans « BARKA », il y a un figuier, des abeilles, une lionne, des valises, des artistes en lutte, des amis qui se retrouvent, des oiseaux, un hérisson, des rayons de soleil, un cerf, un jardinier…
Dans « BARKA », il y a une chanson de Guizmo (Tryo), une chanson avec Moussu T (Massilia Sound System) et une écrite avec la Rue Kétanou.
On avait un Papa de compétition, il fallait des frères pour composer !

Publié le 04/11/2019